C’est aujourd’hui que les amateurs peuvent enfin s’amuser avec le très attendu jeu S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl. Ce dernier, qui a été repoussé pour plusieurs raisons, dont la guerre en Ukraine, est maintenant disponible sur PC (Steam, Epic Games, GOG) et Xbox Series. Le plus beau dans tout ça, c'est que le titre est offert gratuitement aux membres du service Game Pass.
S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl se déroule dans une zone d'exclusion fictive de Tchernobyl. La catastrophe nucléaire de la centrale électrique de Tchernobyl en 1986 n’a pas été la seule à se produire, puisque la deuxième explosion a frappé le réacteur en 2006, créant ainsi la zone. C’est un endroit dangereux, rempli de créatures mutées, de radiations mortelles et d’une énergie étrange et anormale.
Les chasseurs de primes plongent au cœur de la Zone, guidés par ses trésors et ses mystères. Certains d’entre eux fuient leur passé, d’autres sont aveuglés par l’argent et certains sont obsédés par la découverte de la vérité derrière tous les mystères.
Vous incarnerez Skif, un S.T.A.L.K.E.R solitaire qui entre dans la Zone après une série d'événements imprévus. Sur le chemin du Cœur de Tchernobyl, vous découvrirez progressivement les secrets de ce monde, explorerez l'équilibre des pouvoirs entre les factions, combattrez et survivrez. Dans cette histoire non linéaire, chaque choix que vous ferez aura un impact sur le résultat de cette histoire globale et épique, comprenant trois heures de cinématiques scénarisées. Grâce à Unreal Engine 5, à la technologie de photogrammétrie et aux visites régulières des développeurs dans la véritable zone d'exclusion de Tchernobyl, l'authenticité et l'atmosphère qui ont toujours caractérisé la série sont meilleures que jamais.
Il aura fallu plus de sept ans aux développeurs pour enfin terminer ce jeu dans lequel ils ont mis coeur et âme malgré les difficultés rencontrées. De plus, un documentaire sur le développement a été réalisé en collaboration avec Xbox. Il s’intitule War Game: The Making of S.T.A.L.K.E.R 2. Si vous souhaitez le regarder, c’est par ici :