Je ne compte plus le nombre d’occasions où j’ai ressenti un profond malaise en appuyant sur le bouton j’aime de Facebook. Que ce soit l’annonce d’un divorce, d’une maladie grave ou d’un décès, on s’entend que « j’aime » ne qualifiait pas toujours avec justesse l’état d’esprit dans lequel nous nous trouvions.